Filières laitière et entreprises agroalimentaires :
- En France, la société Biolait a payé le lait en moyenne 470,59 EUR pour 1 000 litres en 2019.
- Aux Etats-Unis, Danone aide ses éleveurs laitiers à la reconversion bio.
Economie, politique laitière et agricole
- En France, selon l’Agence Bio, près d’un millier de fermes laitières bovines et ovines ont basculé dans le bio et plus du double étaient en conversion en 2018.
- En Inde, une campagne baptisée « Jeevani » a été lancée afin de promouvoir l’agriculture bio.
Marché, consommation et consommateurs
- En France, selon les données de Nielsen en CAM sur 52 semaines à fin novembre 2019, les achats en produits laitiers bio ont augmenté en volume par rapport à 2015-2018. La consommation de lait bio a augmenté de 9,7% dans un contexte de baisse de la demande pour le lait conventionnel.
Innovation :
- La société autrichienne Vorarlberg Milch lance un fromage à pâte dure bio.
- En Chine, le groupe Yili lance un lait bio sans matière grasse.
Distribution / Restauration :
- En France, à compter du 1er janvier 2020, les restaurants pourront désormais être certifiés "bio".
Réglementation :
Evènement :
Bien cordialement,
Anne-Marie Valix
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Filière laitière et entreprises agro-alimentaires
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Ventes records pour les "Prés rient bio" Guillaume Erner. OUEST FRANCE. 18/01/2020
La filiale bio de Danone, qui produit les yaourts « Les 2 vaches », voit son chiffre d'affaires progresser de 23 % en 2019.
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En 2019, Biolait, premier collecteur français de lait bio, a payé le lait de ses 2.300 adhérents en moyenne à EUR 470,59 pour 1.000 litres, soit une hausse de EUR 22 par rapport à 2018. Ce prix comprend un complément de EUR 13,5 pour 1.000 litres issu du résultat positif de l'exercice de Biolait. Pour 2020, Biolait va modifier la grille 'qualité' et va proposer une aide à l'installation de EUR 6.000 et une aide à la conversion augmentée de EUR 40 pour 1.000 litres. © MBrain
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Grupo Salim has re-launched its offering in organic yogurts and desserts and is now focusing on strengthening its range of organic foods, once there has been a deep renovation in the areas of management, operations and logistics. At an industrial and product level, the firm's aim was to strengthen its capacity in the company's chilled dairy plant in Moia (Barcelona) and re-launch its Nadols family of yogurts and desserts. New machinery has been installed for production and packaging. The new range consists of goat and cow's milk-based products. © MBrain
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Casa Grande de Xanceda, a Spanish dairy company, is continuing to expand in the organic yogurts category at double digit rates. This is despite growing competition in the category. The company has forecast ending 2019 with sales of around EUR 7mn (USD 8.07mn), which would represent an increase of 12.9% compared with the year-ago period. If forecasts are met, the firm will end 2019 with 1,428 tonnes of product sold, up 15%. Going towards 2020, the company has forecast maintaining the same growth rate, with 13% rises forecast for both volume and value. The company is undertaking various investments for the 2018-2020 period, worth EUR 1.8mn. © MBrain
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Total sales of organic dairy products decreased by an estimated 4% to 5% in 2019 compared to 2018. Swedish-Danish dairy producer Arla has reported a 4% decrease in this segment with a decrease from about SEK 1.90bn to SEK 1.18bn. Arla plans to increase its organic sales in 2020, and will continue its organic campaign EKO NETTO NOLL. The company claims that slight increases in organic sales were noted following the launch of the campaign in the autumn of 2019. Furthermore, the price paid to farmers for milk with the organic KRAV label has decreased in 2019 due to the surplus of organic milk on the market. The price difference compared to conventional milk has also decreased. The additional compensation for KRAV milk per litre amounted to SEK 0.83 (EUR 0.08 USD 0.09) in January 2020, a decrease by SEK 0.31 compared to April 2019. Swedish organic market consultant Agrovektor has reported that there is now a surplus of 30% to 40% of organic milk on the Swedish market. © MBrain
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US financial services firm rePlant Capital, which focuses on reversing climate change, will invest up to USD 20mn (EUR 17.34mn) to support the farmer partners of food and beverage firm Danone North America. It will support these farmer partners for converting to regenerative or organic farming practices that enrich the soil, enhance ecosystems and boost biodiversity. The first loan will be provided to McCarty Family Farms. The farmer partner will use the loan to reduce water usage on cropland by installing moisture probes. McCarty Family Farms may also expand the programme to other farms. © MBrain
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Economie, politique laitière et agricole
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Filière lait bio : Un contexte somme toute positif F. A.-R.. LA REVUE DE L'ALIMENTATION ANIMALE. 12/2019
Au Space, une conférence organisée par Inter bio Pays de la Loire et Initiative Bio Bretagne (IBB), a donné un coup de projecteurs sur des démarches et visions de l'avenir au sein de la filière lait bio. Selon, Antoine Auvray du Cniel, "sur le premier semestre 2019 la collecte se situe entre plus 10 et 20 % puis recule un peu face aux conditions climatiques de l'été dernier. Le marché des produits laitiers bio représente 1 milliard d'euros avec une hausse de +10 % par an en fabrication, lait de consommation et beurre en tête. La grande distribution est le premier vecteur de vente soit 82 % du lait bio écoulé, avec un potentiel encore important à conquérir sur l'ultra-frais. Au printemps 2019, on compte 3 500 producteurs de lait bio, 7 % du total des producteurs de lait français et 4 % de la collecte nationale. Cent six collecteurs déclarent être impliqués en bio. Pour 2021, le Cniel estime à 4 120, le nombre de producteurs collectés en bio pour près de 1 160 millions de litres, soit +29 % par rapport à 2019.
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Faut-il être autonome du départ pour réussir sa conversion en bio ? En 10 ans, beaucoup d'élevages laitiers ont franchi le cap de l'agriculture biologique et les producteurs ont fait de belles avancées en matière d'autonomie alimentaire. Or, cette autonomie est-elle le billet d'entrée pour la conversion ? Peut-on réussir cette phase délicate avec un système de base dépendant ? Deux experts donnent leurs avis sur la question.
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Produire un bleu fermier bio d'exception à base de lait de ferrandaise, la race historique du Sancy, c'est le pari réussi des deux jeunes associés du bien nommé Gaec des Étoiles à Laqueuille (Puy-de-Dôme). Un fromage unique en forme de retour aux sources.
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Selon Agreste, en novembre 2019, la collecte de lait de vache française a augmenté de 1,7% par rapport à novembre 2018. Les livraisons sont en hausse de 0,6% en Normandie, de 1,9% dans le Grand Ouest et le Sud-Est, de 5,8% dans le Grand Est, de 1,4% en Charente Poitou, de 3,5% en Auvergne Limousin et en baisse de 0,9% dans le Nord Picardie et de 3,3% dans le Sud-Ouest. En cumul depuis janvier 2019, la collecte est de 21,7 Mn de tonnes, soit un niveau proche de celui de l'année précédente. Le lait bio représente 4,2% de la collecte et le lait AOP/IGP 15,7%. © MBrain
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La filière régionale bovin lait est fragmentée sur trois bassins laitiers aux profils distincts. Le bassin Charentes-Poitou se caractérise par des élevages de grande taille. La part régionale du bassin Auvergne-Limousin est tournée vers la production fromagère du Massif Central. Le bassin Sud-Ouest présente des exploitations de taille plus réduite. En Nouvelle-Aquitaine, la déprise laitière est antérieure à la dernière crise du secteur, qui a fortement impacté les résultats des exploitations en 2015 et 2016 avant une amélioration en 2017. La région représente seulement 4,5 % des livraisons françaises de lait de vache en 2018. Les industries de transformation néo-aquitaines sont orientées vers le conditionnement du lait, au détriment de produits à plus forte valeur ajoutée comme les yaourts, beurre et fromages de vache. La collecte régionale de lait bio est estimée à près de 25 millions de litres de lait en 2018 pour 110 livreurs (source EAL). La production laitière en AB est deux fois moins présente en Nouvelle-Aquitaine que dans le reste de la France, représentant 2 % des livraisons contre 4 % au niveau national en 2018.
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Lait bio +16% LA FRANCE AGRICOLE. 24/01/2020
Selon l'Institut de l'élevage (Idele), la collecte de lait de vache bio a progressé de 16% en octobre 2019 par rapport au même mois de 2018. Seule la France affiche une croissance à deux chiffres sur 2019 parmi les quatre principaux producteurs européens (France, Allemagne, Danemark, Autriche). La France est aussi le seul pays où le prix du lait se maintient, souligne l'Idele. © MBrain
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L'objectif de 15% de surfaces en agriculture bio en 2022 "hors d'atteinte" (Sénat) E. T. R., S. O. E., E. B.. AFP. 05/02/2020 (diffusé à 18:12:02)
Paris, 5 fév 2020 (AFP) - L'objectif de 15% de surfaces bio en 2022 est "hors d'atteinte", selon un rapport du Sénat qui épingle l'action menée par l'Etat pour soutenir le développement de l'agriculture bio ainsi que les soutiens financiers jugés insuffisants. "Malgré leur expansion, les surfaces entrées en conversion ces dernières années suivent un volume d'accroissement qui est incompatible avec l'atteinte de l'objectif fixé par le programme +Ambition Bio 2022+ de 15% de surface agricole utile certifiées en bio", estime la commission des finances du Sénat dans un rapport présenté mercredi. Une des raisons principales invoquées par la commission: les moyens de la politique de développement de l'agriculture biologique sont "saupoudrés dans des budgets épars" et manquent de lisibilité. Des financeurs "éparpillés", qui vont des fonds européens au budget du ministère de l'agriculture en passant par les agences de l'eau, suivent "des logiques d'intervention différentes" alors qu'elles devraient être "théoriquement unifiées", assure le rapport. Le Sénat souligne également les "défaillances" du pilotage de ces politiques, menées principalement par l'Institut national de l'origine et de la qualité (INAO), l'Agence Bio et l'Institut technique de l'agriculture biologique (Itab), ainsi que les "déficits récurrents des moyens disponibles pour accomplir les missions". En ce qui concerne l'Agence Bio, "ses missions sont composites et souvent contradictoires", selon le rapport. L'Agence consacre "une partie considérable des moyens publics qui lui sont attribués à assurer la +promotion+ de l'agriculture biologique aux dépens de missions d'intérêt public majeur", estime ainsi la commission des finances du Sénat. Le rapport assure également que "le modèle économique sur lequel a reposé le décollage de l'agriculture biologique pose des problèmes" car le "consentement des consommateurs à acquitter des sur-prix est la condition principale de l'équilibre économique du développement du bio". Certes, cela a permis de "réduire les coûts publics de soutien au bio", mais le rapport recommande aujourd'hui à l'Etat de "renoncer à sa posture de passager clandestin du bio".
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Dans leur rapport, présenté le 5 février 2020, les sénateurs Alain Houpert et Yannick Botrel épinglent la politique du gouvernement en faveur du développement de l'agriculture bio. Ils estiment que la France n'a en réalité aucune politique lisible, au-delà d'une ambition communicationnelle. Les bienfaits de l'agriculture bio sur l'environnement et ses avantages supposés sur la santé des consommateurs restent difficiles à évaluer. Le rapport pointe aussi des effets d'aubaines conduisant des agriculteurs à étendre leurs surfaces bio afin de bénéficier d'aides à la transition, sans que cela ait d'impact sur la production agricole. Privilégiant la promotion marketing de sa politique, le gouvernement néglige des données fondamentales sur le plan sanitaire (enjeux de santé publique associés au développement de l'agriculture bio), sur le plan environnemental (utilisation en quantité des substances naturelles controversées, par exemple), sur le plan politique (comment concilier le développement de l'agriculture bio, aux rendements plus faibles, avec l'objectif visant à garantir volume de production et accessibilité), ou encore sur le plan sociétal: l'agriculture bio fonde son développement uniquement sur le consentement du consommateur à payer plus cher, mais les sénateurs se demandent si les surprix du bio sont durablement soutenables. Ils dénoncent aussi la faiblesse et l'illisibilité des aides publiques accordées aux agriculteurs bio, soit à peine 1% du total des concours alloués à l'agriculture sur la période allant de 2013 à 2020. Les sénateurs estiment que c'est finalement le consommateur qui paie le développement du bio, alors que ses externalités positives profitent à tout le monde. Le bio, c'est une aubaine pour la grande distribution qui augmente sa rentabilité. Alain Houpert estime que l'Etat doit définir des objectifs clairs, notamment en simplifiant cadres et législations dans une politique européenne commune et en mettant enfin la main à la poche. © MBrain
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Avec près de 2,3 milliards de litres livrés à l'industrie en 2018, le Grand Est occupe la 6ème place des régions françaises pour sa production de lait de vache. Ce volume est en augmentation de 2,3 % dans la région, alors qu'il est resté stable au niveau national. Le Grand Est enregistre cependant en 2018 une nette diminution du nombre de livreurs (- 6,5 %), compensée par une collecte moyenne par producteur en progression, avec + 9,4 % dans la région contre + 5,7 % en moyenne sur l'ensemble des producteurs français. Le prix du lait* a peu évolué en 2018 (347,5 € /1 000 litres en moyenne sur l'année, soit + 0,9 %) après l'embellie de 2017 qui a permis un net redressement du revenu des exploitations laitières. Le volume régional de production fromagère augmente légèrement en 2018 (+ 2 %), notamment grâce aux fromages frais et à pâte pressée cuite, mais sans retrouver son niveau de 2014. La production de lait de vache bio a encore progressé en Grand Est en 2018 avec une augmentation de 29 % des volumes livrés à l'industrie, atteignant ainsi 4,1 % du volume total de lait de vache livré. Le prix payé sur l'année a été en moyenne de 463,27 € /1 000 litres, soit 0,5 % de plus qu'en 2017.
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Arnaud Montebourg s'associe avec des éleveurs pour fabriquer des glaces bio L'ancien ministre de l'économie Arnaud Montebourg, après avoir lancé des marques de miel et d'amande « origine France garantie », s'est associé à des éleveurs laitiers pour fabriquer et vendre des glaces fermières bio, un secteur qui suscite déjà d'autres appétits.
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Le lait ovin bio, une production d'avenir LE SILLON. 07/02/2020
Sur le département des Pyrénées-Atlantiques, pas moins de 9 entreprises de collecte et de transformation du lait ovin sont certifiées en bio. Pour répondre à la demande locale, les entreprises des Pyrénées-Atlantiques recherchent près de 1,5 million de litres de lait de brebis bio. Le prix du lait bio varie de 1 360 € à 1 525 € les 1 000 litres, qu'il soit AOP ou non AOP. Plusieurs entreprises proposent également une prime pendant la durée de la conversion bien que le lait soit valorisé en conventionnel.
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Le prix du lait bio à la loupe Vocoret J-M. LAFRANCEAGRICOLE.FR. 11/02/2020
Dans son analyse du prix du lait bio en 2019, L'éleveur laitier montre d'importantes différences dans le paiement de la matière grasse et la matière protéique: les grammes de taux butyreux (TB) sont valorisés EUR 2,6 pour 1.000 litres chez Sodiaal et Lactalis, EUR 3,6 chez Triballat, EUR 5 à la Sill et EUR 7 chez Eurial et les grammes de taux protéique (TP) sont payés EUR 2,5 pour 1.000 litres chez Eurial et EUR 6,6 chez les autres. Pour le lait bio, la saisonnalité des livraisons et des prix est marquée: l'écart entre les mois les plus faibles (avril, mai) et les plus élevés (août à novembre) est souvent de EUR 80 pour 1.000 litres et peut atteindre EUR 100. © MBrain
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En 2018, selon l'Agence Bio, près d'un millier de fermes laitières bovines et ovines ont basculé dans le bio et plus du double étaient en conversion. Un dynamisme en résonance avec la forte demande des consommateurs, mais qui implique pour les producteurs de repenser en profondeur leur modèle de production et leur relation au travail
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The German state of Brandenburg wants to offer farmers higher financial incentives to switch to organic farming. Among other things, the conversion bonus for vegetable farmers will be increased. In addition, a subsidy for the financing of the necessary controls for organic products will be introduced in future. A start-up grant for young farmers is also being considered. The state is also planning to present an action plan for organic farming by 2021, which should include in-depth training and advice, as well as the establishment and expansion of regional value chains, marketing strategies and quality labels. In total Brandenburg spends around EUR 29mn (USD 33.45mn) on the promotion of organic farming per year. © MBrain
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The Swedish Board of Agriculture (Jordbruksverket) will provide a total of SEK 3.70mn (EUR 353,946.09 USD 408,252.98) in funding to eight projects working towards increased organic agricultural production in Sweden. The funded projects cover research areas such as models for providing feed to dairy cows, new pig breeds adapted for organic farming, how field beans are affected by root rot, new organic fertilizers, how land use affects soil health, how to improve the production of animal fodders, the use of organic fertilizers in vegetable farming, and new methods to control pests in organic strawberry farming. The Swedish Government's goal is for 30% of all agricultural land to be organic by 2030 and for public operations to use 60% organic produce by 2030. © MBrain
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De la traite aux rayons du supermarché, le lait subit plusieurs transformations avant d'être consommé. Quel est le parcours de la majorité de la production laitière du canton ? Environ 3,4 millions de tonnes de lait sont commercialisées par année en Suisse. A Neuchâtel, ce sont 80 tonnes qui sont produites annuellement, dont 45% dédiées à la fabrication de fromage. Les 55% restantes sont destinées au lait de consommation, à savoir le lait à boire, mais aussi les yogourts, le beurre, les sérés et bien d'autres produits encore. Dans le cadre de son système de production «Lait durable Migros», le groupe verse un supplément dit «de durabilité». Un système de points permet encore à l'agriculteur de réaliser un bonus s'il prend des mesures supplémentaires dans les domaines de l'écologie ou du bien-être animal notamment.
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2018 was another record year for global organic agriculture. According to the latest FiBL survey on organic agriculture worldwide, organic farmland increased by 2.0 million hectares, and organic retail sales also continued to grow, reaching another all-time high, as shown by the data from 186 countries (data as of the end 2018). The 21st edition of the study “The World of Organic Agriculture” published by FiBL and IFOAM - Organics International shows a continuation of the positive trend seen in the past years. This annual survey on organic agriculture worldwide is supported by the Swiss State Secretariat for Economic Affairs (SECO), the International Trade Centre (ITC), the Sustainability Fund of Coop Switzerland, and NürnbergMesse, the organizers of the BIOFACH fair.
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In 2020, the Organic Trade Association (OTA) will participate in various events on a global scale to promote US organic products. The move will include partnerships with local retailers in South America, UAE, Japan, Mexico and South Korea. In addition, the association will join events in France, including SIAL Paris, the world's biggest trade show for food and beverage offerings as well as the IFOAM World Congress. OTA will also partner with Foreign Agricultural Service offices in The Hague in Netherlands and London in the UK for its efforts in the EU, in addition to participating in the Free from Functional Food Expo in Netherlands. Additionally, in April 2020, five US organic firms will be led by the association to SIAL Canada, as Canada is the biggest export market for organic products from the US. According to OTA Manager of International Trade Alexis Carey, the association will be able to expand its efforts in existing and new markets due to new export promotion funding from the US Department of Agriculture (USDA). This includes funding of USD 268,400 (EUR 232,696.72) and USD 687,000 for two Technical Assistance for Specialty Crops programs. The former will be used over two years for the development of an organic equivalency application template for other countries, while the latter will be utilised over three years to deal with shifting regulations in the EU. Moreover, the USDA also granted USD 812,786 to OTA in December 2019 via its Market Access Program. Along with an USD 1.13mn sum secured via USDA's Agricultural Trade Promotion program, the association has received almost USD 3mn in USDA awards thus far in 2019. © MBrain
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The Indian Agriculture and Health Departments are pushing organic farming to ensure food safety among the citizens through a new campaign dubbed Jeevani. It will run for 470 days from January 2020 until April 2021. Around 100 traditional plantations will be highlighted in the campaign including chilli, spinach and okra. Aside from public awareness, Jeevani will be introduced in public and private institutions, schools and local households. Other than that, the campaign will highlight alternative products and solutions by agritech firms and startups which can benefit organic farmers. © MBrain
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Partout dans le monde, la demande en produits bio augmente. La Russie entend bien en profiter pour booster ses exportations. Un ambitieux plan de développement de l'agriculture biologique commence à porter ses fruits.
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Marché, consommation et consommateurs
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Les cinq freins au bio Fanny Guyomard. LES ECHOS. 02/01/2020
Aujourd'hui, le bio représente 5% des achats alimentaires des Français et 75% des consommateurs achètent du bio au moins une fois par mois mais le marché fait encore face à cinq problèmes freinant son développement. Le premier frein est le prix en moyenne deux plus élevé que pour un produit conventionnel en raison de coûts de production plus élevés dûs à des cahiers des charges plus stricts. Le second frein concerne la distribution. Le bio entraîne des surcoûts logistiques avec plus de trajets vers les magasins car les points de production sont plus nombreux et les enseignes sont accusées de réaliser des marges plus élevées en bio. Le troisième frein est les années nécessaires à la conversion du conventionnel au bio, le manque d'aides financières et les ressources aléatoires. Le quatrième frein est l'importation de produits bio d'autres pays qui n'ont pas forcément les mêmes critères bio que la France. Le cinquième frein est l'opacité des labels et leur manque de crédibilité: le logo européen peut autoriser 97% du poids du produit non originaire de l'Europe, les élevages d'oeufs bio ressemblent à des usines à oeufs et risque de ternir l'image du bio. L'Académie d'agriculture de France appelle à créer un nouveau label et à sensibiliser les élèves avec des cours pratiques sur l'alimentation, à un pilotage transversal entre ministères de l'Agriculture et de la Santé et à ne plus subir le poids des lobbys des sociétés agrochimiques. © MBrain
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Selon Nielsen, en 2019, près de 250 marques nationales étaient passées au bio contre 173 en 2018. Ces marques représentent 57% des ventes du bio (+1,6 point) et 63% de l'offre (+1,5 point) alors que les marques de distributeurs, qui ont démocratisé le bio, représentent 43% des ventes avec seulement 37% de l'offre. © MBrain
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Pâtes pressées. Un bon coup de fourchette LINEAIRES. 01/2020
Les ventes de pâtes pressées ont progressé en GMS de 3,3% en valeur et de 0,9% en volume sur un an (données arrêtées à novembre 2019). Dans le détail, les tranches ont affiché la plus forte progression en valeur, soit +7,3%, portées notamment par le comté (+12,3%), l'emmental français (+10,2%) et les fromages hollandais (+9,6%). Les râpés ont progressé de 4,1% en valeur, grâce aux râpés destinés à des usages (+16,6%), mais aussi au comté (+11,6%), aux fromages italiens râpés (+6,8%à et aux râpés à goût (+6,8%). De son côté, l'emmental français râpé (73% de PDM en valeur) a progressé de 2,7%. Concernant les portions, le gruyère de France a affiché la plus forte progression (+7,3%), devant le comté (+5%), l'emmental français (+1,3%) et l'Ossau-iraty (+1,3%). En revanche, l'emmental grand cru Label Rouge a affiché la plus forte baisse en valeur (-40,4%), devant l'allégé en portions (-9,8%), les autres fromages à trous (-7,7%) et la tomme noire et dorée (-2,9%). Le bio ne représente pour l'heure que 1% du total pâtes pressées, mais la catégorie affiche une progression de plus de 30%. © MBrain
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La consommation alimentaire des ménages. Focus sur le bio : toujours dynamique Conjoncture dans la filière alimentaire (extraits de la note destinée aux adhérents de la FCD) FCD.FR. 01/2020
Selon les données de Nielsen en CAM sur 52 semaines à fin novembre 2019, les achats en produits laitiers bio ont augmenté en volume par rapport à 2015-2018. La consommation de lait bio a augmenté de 9,7% dans un contexte de baisse de la demande pour le lait conventionnel. La consommation de yaourts bio a bondi de 15,8% (elle représente 6% des volumes), de même que le beurre à +24,2%, la crème à +20,2% et le fromage à +21%.
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Bien qu'il ne compte que 5,6 millions de consommateurs, le Danemark est le septième plus grand marché de produits bio de l'UE. Huit Danois sur dix achètent ainsi régulièrement des produits biologiques et plus de la moitié d'entre eux en achètent chaque semaine. En croissance de 14 %, ce marché est estimé à 2,3 milliards de dollars selon l'USDA. La part des produits bios dans l'ensemble des achats alimentaires des Danois, qui s'élève à 12 %, est la plus importante au monde. Les produits laitiers représentent un cinquième des ventes.
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The Finnish Organic Food Association Pro Luomu estimates that retail sales of organic products totalled about EUR 368mn in Finland in 2019, up 9.6% year-on-year. The estimate is based on sales figures provided by retail chains. Organic products accounted for 2.6% of retail sales of groceries in 2019. The most popular organic product groups are fruit, liquid dairy products, and vegetables. Organic coffee and eggs continue to be popular also. In 2019, the highest growth rates were seen in the sales of brewery products and frozen food. © MBrain
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Innovation
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Lactalis décline deux piliers en bio LINEAIRES. 12/2019
Lactalis enrichit son offre de fromages bio avec la déclinaison en bio de deux de ses piliers : le pérail de Lou Pérac et la tommette de P'tit Basque d'Istara. Prix de vente indicatif: EUR 3,75 pour le pérail bio. © MBrain
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NaturéO. Des yaourts bio et locaux PROCESS ALIMENTAIRE. 01/01/2020
L'enseigne NaturéO complète sa gamme de produits bio à marque propre d'une nouvelle référence: un yaourt de brebis sur lit de châtaigne. Avec cette référence, l'enseigne de supermarchés met l'accent sur le local. En effet, le lait provient de fermes situées à moins de 50 km de la laiterie familiale La Ferme du Causse (Lozère) et les châtaignes d'Ardèche. © MBrain
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L'Anglais Biotiful Kefir chez Carrefour Bio LINEAIRES. 12/2019
La marque anglaise Biotiful Dairy est désormais référencée chez Carrefour Bio, avec deux références de kéfir: nature et doux. Cette boisson au lait fermentée est conditionnée en bouteilles de 500 ml ou de 250 ml. © MBrain
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Lactalis Foodservice will present its new range of ecological dairy products for the hospitality and catering channel during Madrid Fusion 2020. It will be the first ecological dairy range aimed at professionals. Presentation of the new range will take place on 14 January, with the making of an organic menu using cheeses, butter and cream. The new range is called Bio President Profesional. © MBrain
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"Puristische Biojoghurts" Allemagne : Une gamme de yaourts bio chez Söbbecke MILCH MARKETING. 12/2019
The German dairy firm Söbbecke has launched a new range of organic yoghurts under the name Pur Bio-Fruchtjoghurts. There are four flavours in the range: raspberry-pomegranate, blueberry, mango-vanilla, and peach-passion fruit. The recommended retail price for a 500g container is EUR 1.99 (USD 2.30). © MBrain
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Bio-Hartkäse aus Österreich Autriche : Un fromage à pâte dure bio signé Vorarlberg Milch MILCH MARKETING. 01/12/2019
Austrian diary company Vorarlberg Milch has launched Ländle Bioberger, an organic hard cheese. It is traditionally ripened. © MBrain
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Yili Group has unveiled its new fat free milk at an event in Shanghai, China. To make it easier for consumers to purchase the new product, the dairy company has teamed up with hypermarket chain RT-Mart and e-commerce platforms, namely Tmall and Taodaxian [direct translation from Mandarin]. The new product is made using high-grade organic milk, promising a rich nutritional value. © MBrain
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Distribution, restauration
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Bientôt des restaurants AB MONDE DU SURGELE (LE). 01/12/2019
En restauration commerciale, le bio ne représente que 2,6% de l'offre mais cela pourrait changer car le Comité national de l'Agriculture biologique vient de lancer un nouveau cahier des charges qui va certifier non plus un plat lorsqu'il est entièrement bio mais tout le restaurant. Trois catégories de restaurants bio seront mises en place: la catégorie 1 pour les établissements proposant de 50 à 75% de produits bio, la 2 pour ceux proposant de 75 à 95% de produits bio et la 3 pour ceux proposant plus de 95% d'ingrédients bio. Ces restaurants pourront apposer le logo AB sur leur vitrine et le pourcentage de la catégorie concernée. Le comité espère qu'un tiers des établissements français obtiennent le label d'ici trois ou quatre ans mais la certification coûte environ EUR 1.000 par an. © MBrain
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Dossier. Cantines scolaires : le local et le bio sont sur un plateau Coralie Schaub, Margaux Lacroux. LIBERATION. 14/01/2020
En France, l'omniprésente restauration collective n'est pas la championne de la transition écologique. Mais en privilégiant des produits durables et de meilleure qualité pour les enfants, les écoles peuvent contribuer à réduire l'impact désastreux de l'agriculture, souligne un rapport de Terra Nova. "Ce qu'on veut, c'est pouvoir acheter localement" ; "A Cussac-Fort-Médoc, les bio jours du maraîchage municipal" ; "Des cantines pour mettre du beurre dans les épinards des agriculteurs".
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Distribution : la montée en gamme peine à compenser la déconsommation Philippe Bertrand. LES ECHOS. 17/01/2020
Selon IRI, les achats en volume dans les grandes surfaces alimentaires (GSA) ont reculé de 1,4% en 2019, contre -0,8% en 2018. Alors que la population française continue de progresser (+0,6%), les volumes des produits de grande consommation auront reculé de 2% en GSA en quatre ans. Sortant de la consommation de masse, les Français recherchent des produits plus sains, alors que certains se serrent la ceinture faute de pouvoir d'achat. Cette baisse des volumes a été compensée en 2019 par l'inflation (0,92%) et la valorisation, l'achat de produits de meilleure qualité et plus chers ayant poussé les chiffres d'affaires (CA) de 1,3%. Les distributeurs ont ainsi vu leur CA progresser de 0,8% par rapport à 2018. Toutefois, cette montée en gamme peine à compenser la déconsommation et la baisse des volumes va commencer à se voir dans le CA. Rien qu'en décembre 2019, les GSA ont vu leurs ventes reculer de 4% en volume et de 2,8% en valeur au niveau national. L'impact de cette montée en gamme a aussi été limité par un autre phénomène: l'attention au prix qui se renforce dans tous les consommateurs. D'où la performance des champions du discount Lidl et Aldi et des déstockeurs, comme Action, avec des progressions de 6,2 et 19% en 2019, alors que les hypermarchés sont tout juste stables. Par ailleurs, Leclerc, leader des prix bas, et Lidl ont gagné 0,4 pt, alors que Carrefour a perdu 0,4 pt et Casino 0,6 pt. 2020 s'annonce à risque pour les enseignes comme Carrefour, Casino et Auchan, d'autant que les supermarchés de proximité ralentissent, leur CA n'ayant progressé que de 1,2% en 2019, contre +3,2% en 2018. © MBrain
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Inao : des restaurants certifiés en bio EN PAYS VAROIS. 17/01/2020
Les restaurants pourront désormais être certifiés en bio sur la base des “quantités produits” achetés. Cette certification se décline en trois catégories selon le pourcentage de produits bio achetés en valeur : de 50 % à 75 %), de 75 % à 95 %, et au moins 95 %.
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Mariage contre nature ? L'ELEVEUR LAITIER. 01/2020
Grâce à son partenariat avec Biolait, McDonald's a lancé le 12 novembre 2019 les P'tits Milkshakes, un dessert préparé avec du lait bio collecté au sein des fermes du Groupement. Le bio cherche à s'affranchir des canaux de la grande distribution, qui concentre déjà plus de 50 % des ventes globales, contre 34 % pour les magasins spécialisés et 12 % pour la vente directe.
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