Face à la crise démographique que connait l'élevage, renforcer l'attractivité des métiers est un enjeu crucial si l'on veut éviter la dégradation de nos territoires ruraux et l'importation d'une part grandissante de notre alimentation.
Face à la crise démographique que connait l'élevage, renforcer l'attractivité des métiers est un enjeu crucial si l'on veut éviter la dégradation de nos territoires ruraux et l'importation d'une part grandissante de notre alimentation.
L’échange, entre agriculteurs, de matériels, de main d’œuvre, de matières premières, voire de conseils, peut contribuer à l’évolution des pratiques agricoles. Après avoir été un facteur déterminant pour l’amélioration de la productivité de l’agriculture, l’entraide, notamment au sein du réseau Cuma, participe aujourd’hui très concrètement à la transition agroécologique.
Le projet de décret, dévoilé récemment aux professionnels de l’agrivoltaïsme, précise des points clés comme le taux d’emprise au sol de l’installation, l’amélioration du potentiel agronomique et la mise en place de zones témoins.
Les initiatives se multiplient en Lozère, au début de la précampagne sénatoriale, pour amener sur un plan politique l’opposition au classement de 27 000 hectares en prairies sensibles.