20 février 2019
Cette séance a été consacrée aux politiques publiques, régionales, nationales et européennes, moteur de la transition agro-écologique et alimentaire, dans quatre pays de l’Union Européenne : l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Espagne et la Roumanie. Leurs représentants ont exposé comment, dans des situations extrêmement contrastées, des états et des régions cherchent à mettre en place les outils de la PAC dans le sens des attentes environnementales, de santé et d’alimentation.
Cette séance a été très riche dans ses exposés, ses débats et ses conclusions. Les limites et insuffisances de la future PAC ont été soulignées. Le manque de prise en compte de l’emploi, de la sécurisation des revenus, de la prévention des risques… ont été abordés. Mais pour assurer la transition agro-écologique et alimentaire, il faut aller plus loin.
« Il faut redonner de la confiance et de la lisibilité aux agriculteurs, notamment aux plus jeunes qui s’installent et qui sont prêts à s’engager dans une transition nécessaire à l’échelle de l’Europe, avec des outils qui soient adaptés aux territoires, à la diversité des productions et des structures » a été l’une des conclusions de cette importante séance académique.
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