Moi je veux vous dire le progrès c’est vous mes amies !
Le progrès c’est toi Christine qui partage ma vie et mon entreprise et la porte dans un monde ou il n’est pas facile à une femme de s’imposer.
Le progrès c’est toi Cynthia qui a ouvert la communication de la FNSEA à la modernité offrant à notre organisation, comme un cadeau, sept jours sur sept, une influence qui nous est jalousée. Tu ne le dois qu’à ton courage et à ta détermination, aucun homme n’aurait eu à déployer autant pour voir apparaître un peu de reconnaissance. Je te dis merci et comme un clin d’œil : "bon vent, il n’est de vents porteurs que pour celles qui savent ou elles vont" ;).
Le Progrès c’est vous Christiane, Karen, Marie Thérèse mes amies de la FNSEA, quel homme parmi nous doit en faire autant que vous pour arriver à convaincre ? Et pourtant le regard pragmatique sur demain, c’est vous !
Le progrès c’est vous Frède et Aurélie, que serait Vendée RS et AgreenStartup et bien d’autres choses si je ne vous n’étiez pas là ? En suis je digne, là est la question ? Vous me permettrez de dédicacer ce billet à Sarah.
Il y a deux jours, j'ai fait une belle rencontre, la rencontre d’un petit bout de femme dégageant un charisme fou.
Elle s’appelle Sarah, elle est agricultrice dans l’Aveyron, solide comme les gens de là-bas et féminine à souhait.
J’ai découvert une jeune femme qui parle juste, qui parle vrai quand elle parle de la terre, celle qu'elle cultive.
J'ai retrouvé cette vidéo enregistrée le 16 novembre 2013 par la fondation pour l'innovation politique.
Il y a dans sa bouche quelque chose de charnel quand elle parle de sa terre :
La terre devient poème quand Sarah nous en parle.
La terre est enchantement dans la bouche de Sarah.
La terre si fragile et si forte à la fois comme l’est Sarah.
La terre, sublimée par les mots prononcés par Sarah.
La terre et Sarah quand ont l'écoute ne font qu’un !
Sarah a les pieds dans glaise, elle y trouve ses racines.
La tête dans les nuages, Sarah va y chercher les mots.
Des mots qui sonnent juste dans la bouche de Sarah.
Hervé Pillaud
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