vendredi 27 janvier 2012

2012, Année internationale des coopératives

Les coopératives: un rôle central dans la lutte contre la faim

Photo: ©FAO/Peter Di Campo
L'union fait la force
24 janvier 2012, Porto Alegre/Rome - Au cours d'une réunion officielle avec le Conseil du développement économique et social du Brésil (CDES), le Directeur général de la FAO, M. José Graziano da Silva, s'est adressé aux participants du Forum social thématique 2012 qui se tient à Porto Alegre, au Brésil.

lundi 23 janvier 2012

Quelles priorités pour l’agriculture de demain ?



En 2050, la population mondiale atteindra 9 milliards d’hommes. La production agricole devra augmenter pour répondre aux besoins mondiaux, et ce dans un contexte de changement climatique. Cependant, l’agriculture influe sur le changement climatique et ce de différentes façons : elle est la source d’importantes émissions de gaz à effet de serre (GES) à travers l’utilisation inappropriée d’engrais, et la déforestation notamment. Une agriculture visant à réduire les émissions de GES, préserver les ressources naturelles et l’environnement, et assurer une sécurité alimentaire mondiale est à promouvoir. Marion Guillou, présidente de l’Institut National de la Recherche Agronomique (Inra), en collaboration avec des membres d’une commission indépendante internationale exposent dans Science le 20 janvier 2012 leurs priorités pour une agriculture favorable à la politique climatique.

samedi 21 janvier 2012

Les flux d’azote liés aux élevages

Réduire les pertes, rétablir les équilibres source INRA

(19/01/2012)

Expertise scientifique collective sur les flux d'azote liés aux élevage
L’Inra a présenté les conclusions d’une expertise scientifique collective sur les flux d’azote liés aux élevages le 19 janvier 2012. À la demande des ministères en charge de l’Agriculture et de l’Écologie, elle fait le point des connaissances sur les transformations et transferts de l’azote, vus comme une cascade, depuis l’élevage vers les sols, les eaux et l’atmosphère.

vendredi 20 janvier 2012

Aveyron Le lac de Brienne, un exemple de lutte contre la sècheresse


Source journal midi libre HUGUES MÉNATORY
19/01/2012, 16 h 13 | Mis à jour le 19/01/2012, 17 h 32
Deux à trois cents retenues pourraient voir le jour dans les années qui viennent, ce qui pourrait rendre service à quinze cents à deux mille agriculteurs.
Deux à trois cents retenues pourraient voir le jour dans les années qui viennent, ce qui pourrait rendre service à quinze cents à deux mille agriculteurs. (YVES ESTIVALS)
Les sécheresses se suivent et se ressemblent avec leurs cortèges d’inconvénients, et la nécessité, pour l’agriculture, de sécuriser ses productions. Les retenues collinaires, à cet égard, peuvent être l’une des solutions, le stockage de l’eau pouvant permettre de pallier en partie le déficit pluviométrique. C’est sur cette voie, en tout cas, que le président de la chambre d’agriculture, Jacques Molières, entend amener ses troupes

Promouvoir l’agriculture intelligente face au climat grâce à un projet FAO-CE


L’initiative sera déployée au Malawi, au Viet Nam et en Zambie

Photo: ©FAO/Noah Seelam
Inspection d'un système d’irrigation au goutte-à-goutte dans le cadre d'un projet FAO à Guthi, en Inde
16 janvier 2012, Rome - La FAO et la Commission européenne ont annoncé aujourd'hui un nouveau projet de 5,3 millions d'euros pour aider le Malawi, le Viet Nam et la Zambie à adopter des pratiques agricoles intelligentes face au climat.

L'agriculture - et les communautés qui en dépendent pour vivre - sont hautement vulnérables aux impacts du changement climatique. Mais en même temps, le secteur agricole contribue au réchauffement de la planète, en tant que gros émetteur de gaz à effet de serre.

"L'agriculture intelligente face au climat" cherche précisément à relever ce double enjeu. Elle prévoit de transformer les systèmes agricoles pour améliorer leur contribution à la lutte contre la faim et la pauvreté, de les rendre plus résilients au changement climatique, de réduire les émissions, et d'accroître le potentiel de l'agriculture à piéger le carbone atmosphérique.

mardi 17 janvier 2012

Agriculture de conservation 15 février 2012

  
En Bref :
L’APAD organise le mercredi 15 février une journée technique nationale pour donner la parole aux Chambres d’Agriculture qui travaillent sur l’Agriculture de Conservation.              (voir détails ci-après)

mardi 3 janvier 2012

L’éradication totale de la faim, priorité du nouveau Directeur général de la FAO

Source FAO

Soutien accru aux pays pauvres, annonce M. Graziano da Silva

Foto: ©FAO/Alessandra Benedetti
Le nouveau Directeur général de la FAO José Graziano da Silva
3 janvier 2012, Rome - Deux jours après sa prise de fonction, M. José Graziano da Silva a annoncé, au cours de sa première conférence de presse en qualité de Directeur général de la FAO, qu'en tête de ses priorités figurait l'élimination totale de la faim et de la sous-alimentation dans le monde.

M. Graziano da Silva a souligné qu'il n'y avait pas de temps à perdre d'ici la fin de son mandat qui s'achève dans trois ans et demi seulement. Et pour commencer, la FAO accordera un soutien accru à un certain nombre de pays à faible revenu et à déficit alimentaire, notamment ceux qui sont confrontés à des crises prolongées. 

La crise n’est pas le seul problème

La croix du 2 janvier 2012 - Gabriel Marc, ancien président du CCFD-terre solidaire

On conçoit bien que surmonter « la crise » financière soit urgent. Les problèmes de long terme, encore plus considérables, sont du coup renvoyés à plus tard. Ils vont pourtant dominer l’histoire prochaine de l’humanité. Parmi eux, les problèmes écologiques et démographiques s’imposent au premier plan.

On vient de célébrer la naissance du sept milliardième humain. Après deux jours d’attention, on est vite revenu au court terme. Pourtant, la redoutable équation du XXIe siècle est simple à énoncer : comment nourrir et offrir une vie digne à tous les individus, qui seront bientôt neuf milliards, sans abîmer davantage la planète et en restant en paix ? Où vont se poser tant de nouveaux venus alors que les territoires qui peuvent l’être sont déjà habités ?